Par Claire Hédon
– Pr Philippe Jaury, médecin généraliste et addictologue, professeur de médecine générale à l’Université Paris Descartes.

– Dr Pascal Gache, médecin interniste alcoologue installé à Genève. Prescripteur de baclofène depuis 2006. Ancien médecin responsable de l’unité d’alcoologie des Hôpitaux Universitaires de Genève de 1997 à 2009.

Commentaires du Pr Olivier Ameisen :

Pr Jaury, Dr Gache : apprenez d’urgence mon traitement !

J’ai été choqué par les grossières erreurs, par l’absence complète de compréhension du mécanisme, du traitement des addictions et comportements associés que j’ai pourtant clairement expliqués dès 2004 dans des revues médicales et en 2008 dans mon livre « Le dernier verre ».
Je conseille à ces médecins de me lire soigneusement et suis prêt à les former au traitement par le baclofène selon le protocole que j’ai découvert et que je remanie régulièrement.
Comme je l’explique ailleurs, l’essai de M. Jaury est de mauvaise qualité puisque les critères de réussite n’ont rien à voir avec mon innovation. Les médecins de l’essai qui vont traiter ne sont eux-mêmes pas formés. Donc un gaspillage d’argent et de faux désespoirs ce qui est bien plus grave.
Pour ce qui est de mes propres patients, pour l’alcoolisme, la boulimie/fringales/kilos en trop, le cannabis, le tabac, l’héroïne, le jeu compulsif etc., je n’ai pas un seul échec et aucun effet secondaire limitant. Ils sont indifférents sans effort et non abstinents. L’abstinence, que j’appelle une torture, peut être obtenue sans médicament aucun.
Comme pour l’appendicite, comme pour tout traitement, le traitement par le baclofène est opérateur-dépendant. Si on ne sait pas traiter, on apprend ! Si on a des mauvais résultats ou effets secondaires, on s’abstient de traiter et me demande de prendre le relai, ce que nombre de vos patients fait spontanément.
Je pousse un crie d’alerte car retarder la guérison de patients parce que l’on ne veut pas prendre la peine de se former avec moi au traitement est potentiellement dangereux.
Pourquoi les Pr Fred Levin à Chicago, le Dr Rick Billack dans l’Ohio ont ils comme moi plus de 90% de suppression complète de la maladie sans effort et sans effets secondaires ? Parce qu’ils ont eu l’humilité, pour leurs patients, de me demander de les former.
Les patients ont un besoin urgent d’aide !

Pr. Olivier Ameisen, auteur de la découverte et prescripteur depuis environ 10 ans.

Que Aubes ne forme pas de médecin avant que je ne les forme !  

De grâce, que Aubes ne « forme » aucun médecin avant que je ne forme Aubes moi-même car, aux résultats, les médecins ne sont eux-mêmes pas formés. Cela aboutirait à un réseau de mauvais prescripteurs et nuirait aux malades qui continueraient leur inéluctable chemin vers la souffrance et la mort par les addictions. En 2004, au faîte d’une carrière florissante, j’ai publié ma découverte en 2004 sous mon propre nom, suivi de publications médicales et mon livre « Le dernier verre » aurait pu mettre fin à cette carrière. J’aurais pu écrire sous un pseudonyme mails la raison était que puisque ma découverte révélait qu’il s’agissant d’une maladie biologique, il fallait pour supprimer chez les autres la honte et la culpabilité. Les médecins que j’ai médiatisés grâce à ma découverte, Drs et Prs Granger, de Beaurepaire, Rapp, Batel, Joussaume, Gache, Raynaud etc. gagneraient en crédibilité à révéler publiquement si oui on non ils vivent ces maladies, le baclofène. Les psychiatres usent d’un « abus de position dominante » en « psychiatrisant » ces malades qui entrent dans le syndrome de Stockholm.
L’honnête paye car une partie de l’impact de mes travaux est aussi lié au visage découvert. Cela n’a pas besoin de rester une exclusivité, tout au contraire !

Pr Olivier Ameisen